c vrai que mettre les choses au clair, c pas facile, surtout quand on débute. J’suis d’accord avec ce que dit mon ami, en général, ça aide de sortir du contexte BDSM pour en parler trankillement. J’sais que ça peut paraître un peu awkward, mais de toute façon, y’a pas de recette miracle. La première fois que mon conjoint et moi, on a abordé le sujet, c’était un peu chaotique. On s’est retrouvés à parler de tout et de rien avant d’aborder nos envies, et ça a mis un peu de pression en fait.
Les scénarios marrants, c clairement une bonne idée. Ça permet de détendre l’atmosphère, et on a bien rigolé au début. On a commencé par envisager des trucs complètement farfelus, ça crée un climat de confiance, et l’entraide vient tout seul. On est jamais trop sérieux, et ça facilite vraiment la discussion sur les limites.
pour les mots de sécurité, c indispensable selon moi. Comme l’a dit quelqu’un, avoir un mot cool, ça fait toute la différence. Surtout quand on est dans le feu de l’action, savoir qu’on peut s’arrêter avec un simple mot, ça rassure. Une fois, j’ai dû l’utiliser… et ça a bien dédramatisé la situation, au final.
La confiance, ça se construit avec le temps, c’est vrai. Faut en parler souvent, même des trucs ki semblent anodins. Un petit check-in régulier, ça fait du bien. Au moins, chacun sait où il en est et ça évite de se retrouver dans des malentendus. Alors ouais, comme dit mon ami, même si ça semble insignifiant, aborder des questions de limites, ça reste essentiel. On apprend toujours quelque chose sur l’autre, et ça nous rapproche. En plus, y’a rien de mal à vouloir explorer et échanger sur ce qu’on aime.