C’est un sujet tellement déicat et je comprends parfaitemant ce que tu ressens. Moi-même, j’ai eu des moments où mes préférences devenaient un peu trop envahissantes, et ça n’est jamais simple à gérer. Tu sais, les fétichismes, çà touche à plein de cmoses, et souvent, on se sent un peu seule dans notre tête en se disant qu’on est bizarre. C’est pas rare de flipper à l’idée que ça peut ternir nos relations. Mon ex, par exemple, n’était pas du tout à l’aise avec mes manies. Je me souviens qu’il état hyper mal à l’aise quand je lui parlais de mes goûts, et au final, ça m’a rendue hyper stressése, comme si j’avais honte de moi. Franchement, c’est lourd de toujours avoir peur d’être jugée, surtout par ceux qu’on aime. Les chaussettes rayées, le cuir, ça peut sembler anodin, mais quand ça devient le center de tes pensées, ben, tu commences à te dire que ça va pas. Je ne sais pas exactement ce que tu pourrais faire, mais peut-être que trouver un endroit où tu peux en parler sans jugement, comme un groupe de soutien ou des forums (comme celui-ci !), pourrait être bénéfique. C’est pas facile, mais échanger avec des gens qui vivent la même chose, ça fait un bien fou. On se sent moins seule et on voit que c’est pas si bizarre que ça au final. Il y a aussi l’idée de partager ces envies progressivement. Peut-être commencer par des petites discussions avec ton ami, sans trop le brusquer, jusqu’à ce qu’il comprenne que ce n’est pas une question de jugement, mais juste une part de toi. C’est pas facile, mais l’acceptation commence par là. Si t’as l’impression que ça te ronge, peut-être que tenter de comprendre d’où ça vient pourrait aider ? Parfois, on dercouvre des choses sur soi qu’on ne soupçonait pas. En tout cas, t’es pas seule, plein de gens passent par là. Et même si ça semble enorme aujourd’hui, ça peut s’apaiser avec le temps et un peu d’ouverture. Reste sincère avec toi-même, et essaie de te libérer de cette pression, ça peut vraiment faire des miacles. Courage, et surtout n’oublie pas : c’est important de s’accepter telle qu’on est.