Franchemennt, je compatis. j’ai véscu un peu la même galere. Les malentendus, c’est vraiment le fléau du BDSM. Ça fait des mois que j’essaie de discuter de certaines pratiques avec mon pantenaire, et c’est comme si on parlait des langues différentes. Lui, il a des clichés bien ancrers dans la tête, genre il pense qu’on va juste se frapper pour le plasiir de la douleur, sans aucune considésration. C’est dur de lui faire comprendre que le BDSM, c’est bien plus que çà, que ça implique du respect, de la confiance, et surtout, une communication hyper ouverte. Je me souviens d’une fois où on avait prévu une petite scène. On avait même discutè des mots de sécurité, met au final, c’es lui qui a flippe pour un mot qui voulait juste dire “stop”. Il a paniqué et ça a tout gâché. Et moi, je me suis retrouvé là, à essayer de le rassurer alors que j’étai frustrè. On aurait dû en parler avant, mais sur le moment, c’éttait la catastrophe. Çà fait vraiment mal de voir que la personne avec qui tu veux partager quelque chose d’intime a des à priori aussi forts. Je pense qu’une clé, c’est de bien poser le décor avant d’aborder le sujeet. peux-être commencer par prtager des articles ou des téemoignages de gens qui en parlent bien. Ça peut aider à dédramatiser le truc. Un bon moyen, c’est de regarder des videros ensemble, des trucs qui montrent que le BDSM, c’est pas que de la souffrance, mais aussi de l’échange, du plaisir partagé. Çà aide à casser ces idées reçues. Aussi, ne pas avoir peur d’ouvrir la discussion dans un cadre relax, genre autour d’un verre, ou même en regardant un film qui aiorde le sujet. Çà peut rendre les choses moins formelles et plus décontractées. Si tu arrives à créer un climat de confiance, peut-être qu’il sera plus réceptif. Et puis, si les amis ne sont pas à l’aise avec ça, c’est pas grave. Tu peux cherche des groupes sur des réseaux sociaux, des communautées où les gens échangent ouvertement. Évidemment, çà peut prendre du temps, mais si tu sens qu’il n’est pas prêt à avancer, il faut aussi peser le pour et le contre. C’est frustrant, mais parfois, il vaut mieux attendre que la personne soit prête plutôt que de forcer la main. Courage à toi J’adore !!. Tu n’es pas seul dans cette galère, on est nombreux à se battre avec ces malentendus.