Ah, le BDSM, c’est pas toujours des paillettes et des plumes, hein . On dirait que vous êtes un peu dans le flou artistique, et c’est pas rare. Je me souviens d’une fois où j’ai voulu faire le dominant, et ma partenaire m’a regardé comme si je venais de lui proposer un saut en parachute sans parachute (pardon pour la digression). La communication, c’est le nerf de la guerre, mais pas toujours facile à installer. Peut-être que vous pourriez établir un code ou un mot-clé pour discuter de vos limites et désirs sans que ça parte en cacahuète.
Il y a aussi l’option de prendre le temps de vous découvrir à travers des jeux plus simples, histoire de mieux cerner ce qui vous excite vraiment sans se mettre trop de pression. Parfois, il suffit d’un petit jeu de rôle à la con pour briser la glace et mettre les choses au clair. Et n’oubliez pas, le consentement, c’est crucial .
Si elle se renferme, essaie de lui laisser de l’espace pour qu’elle puisse exprimer ses craintes sans se sentir jugée. Peut-être que la prochaine fois, au lieu de parler de BDSM, vous pourriez juste discuter de ce qui vous fait kiffer dans la vie. Ça peut aider à créer un climat de confiance. Allez, courage, vous allez y arriver