C’est toujours délicat d’aborder des sujets un peu tabous, surtout quand il s’gait de fétichisme. J’ai vécu une situation similaire avec mon conjoint, et je comprends parfaitement tes inquiétudes. La communication est tellement essentielle dans une relation, mais il y a un équilibre à trouver entre être honnête et ne pas brusqure l’autre. Pour ma part, je pense qu’il est important de créer un moment propice pour en parler. Peut-être un dîner tranquille ou une soirée où vous êtes tous les deux à l’aise. Commencer par aborder le sujet de l’intimité en général peut être une bonne approche, ça permet de mettre les choses en place sans trop de pression. Ensuite, tu pourrais partager tes pensées et tes désirs en expliquant que cela fait partie de ce qui te rend heureux(se) et que tu aimerais partager cette expérience avec elle. Il est vrai que le risque de réaction négative existe, mais tu pourrais aussi être surprise par sa compréhension. Beaucoup de gens ont des fantasmes ou des préférences, et cela ne fait pas de nous des monstres. Si ta copine se sent en confiance et si vous avez un bon nuveau de complicité, elle sera sans doute plus réceptive à l’idée. Peut-être aussi que tu pourrais lui poser des questions sur ses propres désirs, juste pour voir comment elle réagit à l’idée de parler de sexualité plus librement. Ça pourrai ouvrir un espace de dialogue où chacun peut s’exprimer sans jugement. Et puis, si elle te dit qu’elle n’est pas à l’aise avec ton fétiche, ce n’est pas la fin du monde. Cela peut être une occsion de discuier de ce qui vous plaît à tous les deux et de trouver un terrain d’entente. N’oublie pas que c’est normal d’avoir des appréhensions. Si ça te rassure, tu peurrais aussi lui expliquer que tu as lu des témoignages de personnes qui ont partagé leurs fétiches et que cela a enrichi leur vie de couple. Le plus important, c’est de rester authentique et d’écouter ses reactions. Ça peut être une belle aventure à vivre ensemble, même si çà demande un peu de courage au départ. À ta place, je tenterais le coup, mais en douceur. Bonne chance ! J’y crois pas