Franchement, je te comprends tellement. Le fétichisme, c’est un sujet super délicat. On a souvent l’impression que ça doit rester caché, comme si on avait honte alors que pas du tout . Moi osi, j’ai mes petites manies, et pr être honnête, je pense qu’on a tous nos préférences qui nous rendent heureux, même si c’est pas toujours dans la norme. Les fétiches, surtout celui des pieds, sont plus courants qu’on ne le croit, mais c’est vrai qu’en en parlait, ça peut faire des vagues.
Ma dernière relation, je lui ai avoué mon penchant pr certains trucs, et c’était pas du tout bien pris non plus. Elle a commencé à faire la moue, comme si j’avais dit UN gros mot, tu vois le genre . J’ai senti que ça la dérangeait, et c’est vraiment pas cool. Mais bon, je me suis dit que ça ne voulait pas dire que j’étais anormale. Chacun ses goûts, non . Des gens veulent essayer des choses plus “classiques”, d’autres préfèrent explorer. C’est la variété qui rend la vie pimentée, je dirais.
J’ai lu pas mal de choses sur le fétichisme, et certains experts disent que c’est en fait une manière d’exprimer sa sexualité de façon saine, tant que tout le monde est d’accord et consentant. Ça m’a fait du bien de voir ça – ça veut dire qu’on n’est pas seules à ressentir ça Vraiment ?. En fait, c’est peut-être ça le secret : en parler gentiment, sans pression, en prenant des pincettes. Faut éviter de balancer ça comme une bombe . Peut-être aborder le sujet plus largement, en parlant de sexualité en général. Ça prrait ouvrir la porte à des discussions plus profondes sans la panique.
Et puis, faut osi choisir ses interlocuteurs. Certaines personnes sont plus ouvertes d’esprit que d’autres. Si on sent que la personne est du genre à juger, vaut mieux éviter. Mais avec des amis proches, ça peut être un bon moyen de briser la glace, non . Au final, je pense qu’il faut juste rester soi-même et pas se cacher. La vie est trop courte pr se sentir mal à l’aise avec ses goûts. Allez, courage, t’es pas seule dans ce bateau .