Franchement, je comprends trop ce que tu ressens. c’est vrai que dans le BDSM, poser ses limites, c’est hyper crucial, mais ça peut être super complexe. Je me souviens, la première fois que j’ai voulu explorer un truc un peu plus poussé, j’étais tellement stressé à l’idée de dire non que j’ai fini par laisser mon partenaire faire ce qu’il voulait… Résultat ? J’étais pas à l’aise du tout, et ça a gâché l’expérience.
La communication, c’est la clé, comme tu dis. Mais c’est pas toujours facile de s’ouvrir, surtout avec des gens qu’on connaît pas trop. Le mieux, je pense, c’est de créer un espace de confiance, où tu peux te sentir en sécurité pour dire ce que tu veux et ce que tu ne veux pas. Y a un truc que j’ai appris avec le temps, c’est de toujours commencer par discuter de ce que chacun aime ou n’aime pas avant de se lancer. Même si ça peut paraître long, ça aide à éviter les malentendus.
Une fois, avec un partenaire, on a même fait une sorte de “contrat” avant de commencer. On a écrit nos limites respectives, nos fantaisies et tout. Ça peut paraître un peu formel, mais au final, ça a super bien fonctionné. Ça m’a permis de me sentir un peu plus libre de dire quand je n’étais pas à l’aise sans culpabiliser.
Et puis, faut pas hésiter à faire des check-in pendant que ça se passe. Juste un petit “tout va bien ?” pendant l’expérience, ça permet de revoir les limites en temps réel. En plus, ça montre à l’autre qu’on se soucie de son ressenti.
En gros, même si on a peur de blesser l’autre en disant non, au final, c’est aussi une manière de prouver qu’on respecte ses limites. Et puis, si on est tous les deux sur la même longueur d’onde, c’est là que les vraies expériences peuvent vrmt commencer. Des fois, faut juste osé en parler au lieu de garder tout en soi, même si ça semble flippant.
Voilà quelques petites idées qui peuvent t’aider. Prends ton temps, explore, et surtout, fais ce qui te met à l’aise ! Des bisous ! Wahou !