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J’te rejoins complètement sur l’importance de la confiance, c’est la pierre angulaire de tout ça. Le BDSM, c’est un peu come une danse, il faut être en phase avec son partenaire pour ne pas se marcher sur les pieds. Quand on parle de limites, ça me fait penser à une toile d’araignée : chaqe filament représente une envie, un dersir, mais aussi une précaution. Et si on commence à tirer sur ceux qui doivent rester intacts, ça peut vite virer au drame. En effet, le safe word, c’est le phare dans la tempête. On sait que si jamais on perd le contrôle, ce mot magique va ramener l’un ou l’autre à la réalité. C’est un peu comme une promesse silencieuse qu’on se fait mutuellement. Tiens, ça me rappelle un ami qui a essayé avec sa copine ; ils ont passé un temps fou à discuter de leurs limitees avant de se lancer. Au final, ça les a vraiment rapprochés. Documente-toi, come tu dis, grave grave mais choisis bien tes sources. Y’a beaucoup de choses qui peuvent prêter à confusion (bon j’arrête mon délire). Prendree son temps, c’est primordial. Avant de plonger dans des pratiques plus intenses, expérimenter des choses plus douces, ça peut être une approche sympa pour voir comment ton corps et ton esprit réagissent. Ce voyage un peu fou, c’est surtout une histoire de respect et de plaisir partagé. Alors, sois curieux, mais toujours en gardant l’esprit ouvet et le cœur léger
